MotoGP

Moi suis pas d accord les reparation et entretien d une japonaise c chere aussi!!
et c comme les italienne ca casse (sauf le cb a cat biensur) tusorsss

MotoGP - Biaggi nous parle du circuit d'Estoril.
vendredi 15 avril 2005,
par Patrice Girard sur piststop

Même si le tracé d'Estoril est lent, il n'en est pas moins un circuit des extrêmes, offrant le virage le plus lent de la saison MotoGP, mais aussi l'un des plus rapides. Les pilotes abordent l'impressionnant virage numéro cinq à plus de 220 km/h, mais quatre virages plus loin ils doivent avoir réduit leur vitesse jusqu'à 55 km/h pour négocier la chicane.

Ce contraste entre les virages lents et les courbes rapides occupe beaucoup l'esprit des pilotes comme celui des ingénieurs qui se doivent de trouver des réglages assurant une grande stabilité dans les courbes rapides ainsi qu'une grande maniabilité dans les virages plus lents. Pour compliquer le tout le circuit d'Estoril est très bosselé, manque d'adhérence et se trouve souvent balayé par un vent violent venant de l'Atlantique.

Max Biaggi (Repsol Honda Team RC211V-Michelin) a couru tous les Grand Prix disputés jusqu'ici à Estoril, mais ne compte à son actif qu'un podium, en 2003. Cependant, il connaît parfaitement la bonne trajectoire de ce tracé tortueux, ayant même décroché la pole position en 2001. L'an dernier dans la chicane, il fut pris dans un accrochage collectif.

"A Estoril, il est vraiment nécessaire de réfléchir à quel type de pneu choisir" explique Biaggi, vainqueur de 13 Grands Prix en catégorie reine sur Michelin. "Vous avez besoin de stabilité, mais vous ne pouvez pas choisir un pneu trop rigide car il ne fonctionnerait pas sur les bosses. C'est là que l'expérience de Michelin est importante car ils savent précisément nous conseiller face à ce genre de difficulté. L'autre caractéristique délicate d'Estoril est que nous n'y effectuons plus d'essais privés."

"Le dernier virage est le plus important car il est très long et il débouche sur la ligne droite d'arrivée très longue elle aussi. Une bonne sortie de ce virage vous fait ainsi immédiatement gagner plusieurs dixièmes de secondes dans la ligne droite."

"Le virage le plus excitant est peut-être le numéro cinq car il est réellement rapide et vous le négociez avec un angle impressionnant. Ce virage est également important car il se prend à vitesse élevée et mène à la ligne droite du fond du circuit."

"L'adhérence de la piste n'étant pas exceptionnelle à Estoril, vous avez besoin de pneus qui tiennent la distance, faute de quoi vous vous retrouveriez en difficulté dans les derniers tours. Une fois encore, Michelin sait comment fabriquer un pneu vous garantissant à la fois un haut niveau d'adhérence et une endurance exemplaire. On sait que leurs concurrents travaillent beaucoup sur la MotoGP, mais j'ai une confiance totale en Michelin, car nous avons de longues et fructueuses années de collaboration."

D'après un communiqué Michelin Compétition.

Sete Gibernau sera au GP d’Estoril .
vendredi 15 avril 2005.

On a craint pour la participation de Sete Gibernau au GP d’Estoril qui se déroulera les 16 et 17 avril au Portugal. En effet le pilote espagnol, a subi des examens médicaux concernant son épaule gauche, lundi 11 avril à Barcelone. En effet il semblerait que la bousculade entre Valentino Rossi et lui dans le dernier tour du GP de Jerez, se soit traduite par une lésion des tendons de la tête de l’humérus.

Cette épaule est d’autant plus fragilisée, que Sete a déjà été opéré à deux reprises de cette partie.

Il a reçu un traitement anti-inflammatoire doublé d’un traitement aux ultrasons, deux fois par jour, afin de récupérer au plus vite ses capacités physiques. Sans ce traitement de cheval, il aurait fallu deux semaines au pilote espagnol pour retrouver l’usage de son épaule.

« Je me sens très motivé pour le prochain Grand Prix, et je ne pense qu’à récupérer pour pouvoir continuer de la même façon dont on a commencé le championnat. C’est d’ailleurs une honte qu’on ne puisse pas disposer d’une semaine entière de délai entre deux épreuves. Mais je suis sûr que tout cela n’aura que peu d’effet sur notre travail à venir » a confié Sete.

Sete est tombé ce matin sur son épaule...

Ayé il a une bosse excuse pour perdre demain!

MotoGP - Victoire de Barros au Portugal.
dimanche 17 avril 2005,
par Patrice Girard sur pistop

Alex Barros remporte le septième Grand Prix de sa carrière après plus de deux ans de disette. Rossi et Biaggi complètent le podium. Gibernau, qui aura mené la première moitié de course, a chuté après avori perdu l'avant de sa Honda.

Pour ce Grand Prix du Portugal en MotoGP, la météo semble clémente même si quelques gouttes de pluie tombent ça et là sur le tracé. La piste risque d'être piègeuse suite aux averses du matin et les pilotes devront être sur leurs gardes, du moins dans les premiers tours...

Auteur de la pole, Alex Barros devra cravacher pour conserver son avantage face à Gibernau et Checa alors que Rossi partira de la seconde ligne et ne manquera pas de tout tenter pour revenir en tête de la course.

Les pilotes se sont mis en grille après un tour de chauffe sans problème. Les feux passent au vert et Gibernau s'échappe parfaitement alors que Rossi gagne deux places pour passer Barros au premier freinage mais le Brésilien répond aussi sec et reprend la seconde position. Biaggi profite de la bagarre et passe les deux hommes alors que Gibernau s'échappe déjà seul en tête. Après ce premier tour, Gibernau a 1"7 d'avance sur Biaggi. Suivent Barros, Rossi, Melandri, Edwards, Hopkins et Checa.

Au terme du troisième tour, Rossi prend la seconde place à Biaggi et se lance à la poursuite de Barros et Gibernau qui filent en tête. Melandri et Edwards se battent pour la quatrième place, l'Italien et l'Américain se dépassant tour à tour.

Après 8 tours, les drapeaux blancs sont agîtés ce qui indique aux pilotes qu'il pleut et qu'ils peuvent rentrer à leur stand pour changer de moto et repartir chausser en pneus pluies. Visiblement, cela ne perturbe personne et les pilotes continuent de tourner, la piste restant sèche.

14 tours ont été couverts et l'on se retrouve à la mi-course. Gibernau mène avec 1"4 d'avance sur Barros, les deux hommes étant à l'abri des attaques de Rossi qui se retrouve à plus de secondes, suivi par Biaggi. Un peu plus loin, Melandri et Edwards sont à la lutte pour la cinquième place.

L'incroyable se produit dans le 15ème tour avec Gibernau qui perd l'avant et qui chute, laissant Barros prendre la tête de la course. John Hopkins chute également quelques instants plus tard alors que la pluie semble de retour sur le circuit d'Estoril.

Il reste 8 tours et Edwards parvient à prendre la quatrième place à Melandri après une lutte de toute beauté. Pendant ce temps, Troy Bayliss chute mais parvient à reprendre la piste.

Il reste 5 tours et la pluie revient dans la ligne droite des stands ce qui envoie Colin Edwards au tapis. Le pilote Yamaha parvient à repartir. Les pilotes se retrouvent en piste au ralenti et personne ne semble vouloir s'arrêter pour changer de pneus. Barros mène avec 5"5 d'avance sur Rossi et Biaggi. Suivent ensuite Melandri, Checa et Edwards.

On rentre dans le dernier tour et Barros sécurise sa première place même si Rossi remonte fort sur le Brésilien alors que Checa tente de passer Melandri mais élargi à la sortie de courbe. Barros décroche la victoire devant Rossi et Biaggi. Melandri, Checa et Edwards échouent aux pieds du podium.

pour resumer

barros - rossi - biaggi

et gigi par terre.

MotoGP : OJ avec Kawasaki à Shanghai et au Mans
mardi 19 avril 2005. sur motomag

Olivier Jacque annonce qu’il participera aux deux prochains Grands Prix au guidon de la Kawasaki ZX-RR en remplacement d’Alex Hofmann qui s’est cassé le scaphoïde lors d’une démonstration avant le dernier Grand Prix au Portugal. L’écurie officielle Kawasaki a fait appel à Olivier Jacque, qui n’a plus de guidon depuis fin 2003 mais qui a participé à deux épreuves pour Moriwaki en 2004. Elle compte sur son expérience pour ce remplacement en catégorie MotoGP.

« Je suis super content de retrouver les Grands Prix », commente Olivier Jacque, « et encore plus de participer au Grand Prix de France ! Je suis complètement excité à l’idée d’intégrer cette écurie Kawasaki dans laquelle je connais déjà pas mal de personnes que j’apprécie. Shinya Nakano tout d’abord, mon complice, ami et rival pour le titre de champion du monde chez Tech 3 ; Philippe Bourguignon, le chef mécanicien, avec qui j’ai travaillé quand il était chez Kayaba ; et mon ingénieur préféré Monsieur Yoda, à l’époque chez Yamaha, qui a maintenant intégré Kawasaki. »

« J’ai effectué des essais lundi, sur le circuit d’Estoril après le Grand Prix, pour faire connaissance avec la Kawasaki ZX-RR. Tout s’est bien passé, j’ai vite retrouvé mes sensations sur les 25 tours parcourus. J’ai été très impressionné par l’évolution d’une moto de Grand Prix, sa puissance moteur et les pneus Bridgestone m’ont agréablement surpris. Cela faisait sept mois que je n’étais pas remonté sur une machine de course, et j’avais oublié combien c’est physique. Mais je sais ce que j’ai à faire pour m’entraîner de manière intensive. »

« J’éprouve une réelle émotion à l’idée de revenir en Grand Prix, surtout devant l’engouement que cela provoque, » poursuit le français . « Mon téléphone n’arrête pas de sonner, il faut tout organiser très vite : combinaison, bottes, casque, réserver les billets d’avion, obtenir le visa pour la Chine, etc... »

« Tout se précipite alors que je suis en essais du Rallye Lyon Charbonnière que je dispute ce week-end pour Renault Sports. C’est l’ouverture du championnat de France des rallyes et je roule sur une Clio Groupe N avec mon coéquipier de l’an dernier Jean-Claude Grau. Je suis en plus parrain du Challenge Groupe N pour Renault. Beaucoup d’activité d’un seul coup, mais un plaisir immense à la perspective de disputer deux Grands Prix en MotoGP pour Kawasaki. » conclut-il.

faut poster pour que le forum remarche, alors je m'y colle

Des retours et des absents à Shanghai
Actualité, 22/04/05

Le circuit de Shanghai accueillera la semaine prochaine le premier Grand Prix taobao.com de Chine, épreuve qui sera marquée par le retour de deux pilotes dans la catégorie reine, mais aussi par l’absence de certains.

Le team Roberts a confirmé qu’il ne prendrait pas part au prochain Grand Prix : après avoir utilisé les premiers prototypes du V4 KTM lors des essais et des premiers Grands Prix, Shane Byrne devra attendre Le Mans pour reprendre le guidon de la Proton KR, qui disposera alors d’une nouvelle version du moteur autrichien.

Malgré l’absence du team Roberts, il y aura bien onze teams sur la grille avec l’engagement de Moriwaki Racing en wild-card. Le préparateur japonais alignera Tohru Ukawa, qui a récemment rejoint Moriwaki après avoir passé une saison au HRC en tant que pilote essayeur.

Il y aura un autre revenant dans la catégorie MotoGP, le français Olivier Jacque, qui ne disputa que deux courses l’an dernier avec Moriwaki. Il remplacera Alex Hofmann chez Kawasaki lors des deux prochains Grands Prix, en Chine et en France.

Enfin la participation de Makoto Tamada, blessé au Portugal, est encore incertaine. Le pilote Konica Minolta Honda s’était blessé à la main droite le week-end dernier, lors de la séance de qualifications.

MotoGP - O.J. fait trembler Rossi à Shangai...
dimanche 1er mai 2005,
par Patrice Girard sur PITSTOP.com.fr

Au terme d'une course palpitante sous un véritable déluge, Valentino Rossi emporte une nouvelle victoire alors qu'Olivier Jacque signe un retour en fanfare en prenant la seconde place devant Marco Melandri.

A la vue de la l'état de la piste au départ de ce premier Grand Prix de Chine, on savait que l'on aurait droit à une course passionnante et pleine de surprises... Ce fût largement le cas et dès le départ, Rossi négocia parfaitement son envol pour remonter rapidement vers la tête de la course qu'il mènera qu'il mènera de main de maitre.

Mais la surprise vint de l'arrière avec Olivier Jacque... Le Français, de retour pour un remplacement de deux courses chez Kawasaki, parti de la 15ème place de grille pour entamer une incroyable remontée jusqu'à venir menacer Rossi dans les derniers tours. Un à un, Olivier croquera tous les ténors du championnat, Biaggi et Gibernau inclus, pour venir chercher la seconde marche du podium et prendre en un coup la 7ème place du championnat pilote !

Troisième de cette course, Marco Melandri signe également une très belle performance, un peu là ou on ne l'attendait pas. L'Italien se payant même le luxe de dépasser son chef de file, Sete Gibernau, à 2 tours du drapeau à damiers.

Du côté des grands perdants, on peut dire que Gibernau a une nouvelle fois la poisse... L'Espagnol n'aura rien pu faire face à la tornade Rossi et au rouleau compresseur O.J.. En fin de course, on le verra secouer la tête et complètement baisser les bras lorsque le jeune Melandri lui fera facilement l'intérieur. Biaggi termine en 5ème place d'une course ou il n'aura été que l'ombre de lui même...

On peut donc dire que cette course, qui aura vu la seconde place d'Olivier Jacque derrière le Docteur, a un presque un goût de victoire pour le Français. O.J. prouve à ses détracteurs qu'il est encore en forme et qu'il n'a rien perdu de son attaque et de son sens du pilotage même après une année passée loin des circuits. Espèrons que le Français puisse renouveler cet exploit dans 15 jours au Mans ! Ce la pourrait lui permettre l'ouverture de nouvelles portes alors que beaucoup pensaient que sa carrière étaient terminée...

GP de Chine-250cc: Stoner 1e, De Puniet largué
Le 01/05/2005 - 08:44

L'Australien Casey Stoner a remporté à Shangaï son deuxième Grand Prix d'affilée dans la catégorie 250cc.
Le grand espoir de la catégorie devance un autre talent naissant, l'Italien Andrea Dovizioso, champion du monde 125cc en 2004. Le Japonais Aoyama termine sur la troisième marche du podium.
Le Français Randy De Puniet qui a subit de graves problèmes mécaniques en Chine pointe à la 18e place et perd pratiquement toutes ses chances pour le titre.

qu'est ce qui ce passe OJ est de retour, y a vraiment plus rien a comprendre,
manquerait plus qu'il gagne au mans !!!

enfin j'ai peut etre une autre théorie,
c'est peut etre que kawa c'est fait pour les cas désespérés, cela m'arrangerais car ça signifierait que j'ai une chance de progresser en plus de compenser mon manque de maitrise par des chevaux

Voui... Kawa, c'est pour les cas désespérés... la preuve : j'en ai eu une !

J'vais ptete passer à Yam moi... ça changera ptete quelque chose...

oui oui ca va changer kelke chose sandman!! tu va peter des boites maintenant lol LAFERM

lol

J'ai pas dit que je voulais un R6, ni que je voulais rouler comme un bourrin

Je ne roulai pas comme un bourrin je m appel pas bayliss( ca ne te visse pas cat lol) je ne passe pas mes vitesses a grand coup de talon s en embrayer! et mon moteur demarrer beaucoup mieux que certaine autre moto qui avais moins de kilometres et qui sont plus recente.
Par contre fais attention car les nouveau fazer on le moteur du r6 maintenant

GP de France: Rossi, l'homme du Mans.
lundi 16 mai 2005, par Patrice Girard sur Pitstop.com

Valentino Rossi (Gauloises Yamaha Team YZR-M1-Michelin) et Sete Gibernau (Movistar Honda MotoGP-Michelin) se sont livrés un nouveau duel d'anthologie hier après-midi au Mans, le champion en titre s'imposant finalement à son grand rival pour seulement 0,382 seconde au terme d'un dernier tour à couteaux tirés. Colin Edwards (Gauloises Yamaha Team YZR-M1-Michelin) se classe troisième après avoir mené durant les deux tiers de l'épreuve.

Disputée sur le sec après deux jours d'essais majoritairement humides, la course établit du même coup un nouveau record puisqu'elle a été courue en 10,5 secondes de moins que l'an dernier. Gibernau et Rossi ont également pulvérisé le record du tour l'un après l'autre, le meilleur temps revenant finalement à l'Italien avec 0,41 seconde de moins que le record existant. Les pilotes Michelin ont ainsi dominé l'épreuve, s'octroyant les cinq premières places à l'arrivée tandis que le premier pilote non Michelin terminait à 24,6 secondes derrière Rossi, ce qui représente un écart d'environ 0,9 seconde au tour.

"Ce fut une grande course pour nous", expliquait Nicolas Goubert, responsable de la compétition moto chez Michelin. "Ce fut un week-end difficile pour tout le monde car nous n'avons pas disposé de beaucoup de temps sur le sec lors des essais pour déterminer nos choix pneumatiques. Pourtant, la plupart de nos pilotes ont été vraiment rapides, particulièrement Valentino et Sete. Le dernier tour de Valentino fut réellement incroyable, tandis que de son côté Sete a aligné une majorité de tours en 1'33. Ce fut également une joie de voir Colin sur le devant de la scène, confirmant le rythme élevé qu'il avait démontré durant les essais hivernaux."

"Valentino et Alex (Barros, Camel Honda RC211V-Michelin) ont choisi un pneu arrière légèrement plus dur que Sete, Colin et Max (Biaggi, Repsol Honda Team RC211V-Michelin) Marco Melandri (Movistar Honda MotoGP-Michelin) s'est orienté vers une gomme encore plus dure, peut-être même un peu trop. Sete s'est débattu durant les essais pour trouver les bons réglages pour sa machine, mais nous a écouté quant au choix de ses pneumatiques qui lui ont permis de maintenir un excellent rythme en course."

Rossi n'a pas eu la partie facile. Après deux victoires et une seconde place, il s'élançait confiant mais un premier tour difficile l'a relégué en sixième position. Il a du alors donner le meilleur de lui-même pour remonter au classement, s'emparant de la seconde place au neuvième tour, et devant attendre encore neuf tours avant de pouvoir attaquer Edwards. Sa première attaque, à la chicane du Chemin aux Boeufs, fut périlleuse et permit à Gibernau, mal parti, de s'emparer de la seconde position au virage suivant. Rossi dut patienter encore quatre tours avant de prendre la tête, il parvint ensuite à contenir Gibernau jusqu'à l'arrivée.

"J'ai perdu du temps au départ et j'ai du effectuer quelques beaux dépassements pour revenir devant" explique Rossi, qui mène maintenant le championnat de 37 points devant Melandri. "Lorsque je suis arrivé derrière Colin, je me suis rendu compte que Gibernau nous remontait rapidement, c'est pourquoi j'ai essayé de doubler pour donner mon maximum. J'ai tourné de plus en plus vite pour finalement m'imposer. J'imagine que ce fut un beau spectacle pour le public."

Pour Gibernau également, ce fut une journée difficile. Huitième après cinq tours de course, il parvint finalement à trouver son rythme pour effectuer une remarquable remontée. "Nous avons connu pas mal de problèmes aux essais pour trouver les bons réglages de suspensions et les pneumatiques adaptés, et nous avons du effectuer quelques paris pour la course" explique l'Espagnol. "Michelin m'a aide à choisir le meilleur pneu, aussi je les en remercie, de même que je remercie mon team. Finalement, mes chronos furent excellents et j'ai pu rejoindre Rossi. J'avais une chance de le passer dans le dernier tour, mais j'ai commis une petite erreur de pilotage et il m'a légèrement décroché."

Edwards se montrait pour sa part ravi de son premier podium en MotoGP sur la Yamaha : "Je n'ai pas eu beaucoup de réussite durant les trois premières courses, aussi je suis arrivé ici très motivé" explique-t-il. "Et la moto s'est très bien comportée dès les premiers tours de roues. En course, Valentino et Sete allaient plus vite que moi dans les derniers tours, aussi j'ai préféré assurer la troisième position."

Melandri s'emparait de la quatrième place devant Biaggi pour quelques dixièmes, ce dernier disputant l'épreuve malgré une forte douleur au dos due à une chute lors du warm-up du matin. Nicky Hayden (Repsol Honda Team RC211V-Michelin) se classait sixième après avoir roulé en compagnie d'Edwards durant les premiers tours de course.

ALLEZ MARCO !!! #33
2eme au classement général!!

Toni Elias absent au GP du Mugello.
mercredi 18 mai 2005.



La nouvelle est tombée cet après midi (13H00) lors d’une conférence de presse à l’Institut Universitaire Dexeus de Barcelone. Toni Elias ne sera pas présent au GP du Mugello, les 4 et 5 juin en Italie. En effet le co-équipier de Ruben Xaus en MotoGP, s’est crashé lundi au Mans, lors d’une séance d’essais privés sur sa Yamaha après le GP du Mans.

Lors de sa chute, survenue dans la chicane du Dunlop, Toni Elias s’est fracturé le radius et le scaphoïde du poignet gauche.

C’est le docteur Xavier Mir, qui a donné tous les détails des traumatismes subis par Toni. « On lui a mis un plaque en titane pour le radius et une vis dans le scaphoïde. Le temps de récupération d’une personne normale est de 8 semaines. Mais dans le cas de Toni, cela ne m’étonnerait pas qu’il soit sur pied pour le GP de Catalunya" (11 et 12 juin).

Pour rappel Toni Elias entame sa première saison en MotoGP sur une Yamaha dans le team drivé par Hervé Poncharal. L’an dernier il a fini la saison 4ème en catégorie 250 sur une Honda.

Motomag

4 GP au programme d’OJ
mercredi 1er juin 2005. Motomag

Olivier Jacque participera à plusieurs Grands Prix au guidon de la Kawasaki ZX-RR officielle de MotoGP avec laquelle il a brillamment terminé deuxième du récent Grand Prix de Chine.

Le français sera présent au GP d’Italie (Mugello le 5 juin), et de Catalunya (Barcelone le 12 juin), toujours en remplacement d’Alex Hofmann. OJ a également obtenu une « wild card » pour le GP d’Allemagne (Sachsenring le 31 juillet) et celui de Valence (Espagne le 6 novembre).

« Je suis vraiment enchanté de cette proposition concrète du Team Kawasaki », dit Olivier Jacque, « Je suis d’autant plus heureux que je me sens vraiment très bien au guidon de cette moto, mais également au sein de ce team dont j’apprécie particulièrement la sympathie, le professionnalisme et la passion. J’ai une pensée pour Alex Hofmann car je sais pour l’avoir vécu, à quel point il est difficile, pour un pilote blessé, de rester sur le bord de la piste.

En son absence, nous allons continuer le travail de développement sur la moto. Lors de la journée d’essais qui a suivi le Grand prix de France au Mans, j’ai roulé de manière régulière une seconde plus vite que mon meilleur temps en course la veille. C’est donc de bon augure pour les prochains Grands Prix.

De plus, j’apprécie particulièrement le tracé du Mugello, un circuit technique tout en montées et en descentes, qui laisse la part belle au pilotage et où il faut un gros coeur. Par contre, c’est un endroit où il faut une bonne vitesse de pointe et les pneumatiques y jouent un grand rôle car il peut y faire très chaud et il y a souvent des orages. »

4 GP pour prouver qu'il devrait passer en supersport ou superbike et arreter le moto GP...

pourquoi tu dis cela twinny ?

Hoffman reprend sa place au GP du Mugello
jeudi 2 juin 2005. motomag

Alex Hoffman a repris sa place au sein du team Kawasaki de Grand Prix. Il se dit prêt à courir pour l’épreuve du Mugello, dimanche 5 juin, après avoir été absent près de 7 semaines des circuits.

Le pilote officiel du team d’Harald Eckl, a souffert de la fracture d’un cubitus et du scaphoïde du poignet gauche suite à une chute.

Mais selon lui tout est rétabli « je me suis longuement préparé pour être dans le coup lors de cette course. Je sais que piloter une machine de Grand Prix sur un circuit comme le Mugello est très exigeant physiquement ».

Néanmoins la décision finale ne sera prise qu’après la première séance d’essais du vendredi 3 juin au matin. Quand à Olivier Jacque, il est présent au Mugello et à Catalunya, où il sera sûr d’effectuer des essais au lendemain du GP d’Espagne.

je dis ça parce qu'à mon avis les motoGP sont trop puissante ou pointu pour notre petit noliv, je pense que ce n'est pas une tanche et qu'il devrait s'essayer à autre chose, genre moto GP...

CF notre petite laconis qui ne faisait rien au GP et qui fait des podium en superbike (quand il n'est pas à terre mais ça c une autre histoire lol)

GP du Mugello dimanche:

Du temps des 500, le premier virage était le droite assez lent appelé San Donato. Mais désormais, la première difficulté que les pilotes MotoGP doivent affronter est une très rapide « cassure » à gauche juste avant le premier virage. Ceci pour une simple raison: le pilote le plus rapide l'an dernier lors du GP d'Italie fut Alex Barros (Repsol Honda RC211VMichelin) chronométré à 343 km/h ce qui est quand même 27,4 km/h plus rapide que le plus véloce des pilotes 500, Valentino Rossi (Valentino Rossi, Nastro Azzurro Honda NSR500-Michelin), avec 315,6 km/h lors du GP 2001!
Mais ce qui rend ce virage négocié à 335 km/h tout à fait unique c'est que les pilotes y franchissent le sommet d'un dos d'âne en roue arrière à 335 km/h !

"Je suis allé dans ce virage pour regarder" explique Troy Bayliss (Honda Camel Pons RC211V-Michelin), l'un des 12 pilotes Michelin au Mugello. "Mais je ne veux plus y retourner car maintenant je sais à quoi je ressemble quand on me regarde dans un endroit pareil ! Ce virage est unique ce n'est pas un problème si votre machine est stable, si ce n'est pas le cas il est un peu effrayant."

"L'avant est très important, surtout dans des endroits comme Casanova, parce que ce virage est en descente et en dévers" affirme Rossi. "La mise au point de la moto n'est pas une chose facile au Mugello mais il est important d'avoir une machine bien réglée sur un circuit aussi rapide et technique. Les portions les plus techniques sont les Esses Casanova-Savelli et les deux virages à droite appelés Arrabbiata et pour y faire un bon chrono la moto doit être parfaitement réglée et il faut beaucoup de grip. Le circuit est rapide, avec des montées et des descentes, et il est bosselé par endroits. Il faut se sentir très à l'aise sur la moto pour être performant au Mugello."

Biaggi, qui a terminé trois fois second des quatre derniers GP d'Italie, ajoute : "Il faut de très bons réglages et des pneus endurants au Mugello. Le grip du pneu avant est très important pour permettre d'attaquer les virages rapides en descente avec confiance. Ce circuit est vraiment magnifique, c'est un des plus beaux endroits de la saison puisque nous courons en pleine nature."

extrait de e-moto